L’unique poumon de la ville à l’agonie: Toute l’actualité sur liberte-algerie.com
La forêt se meurt petit à petit, à cause du laisser-aller des autorités locales et de l’inconscience des citoyens. Comme une richesse inépuisable ou une quelconque matière qui se régénère à volonté, les forêts de Bordj Bou-Arréridj ont presque disparu, victimes d’un pillage intensif et des nombreux feux totalement irresponsables.